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Besançon : Un poing c’est tout
Mon premier est un septuagénaire affirmant avoir été agressé pour son portefeuille. Mon second, un SDF de 20 ans soutenant quant à lui avoir été victime de propos racistes. Et mon tout était invité à se présenter vendredi dernier devant le tribunal correctionnel de Besançon, pour y démêler le vrai du faux.
La seule certitude à ce moment-là : le bourre-pif que le jeune sans-abri aura bien donné mercredi au vieil homme, dans des toilettes publiques du centre-ville. Ce qui lui valait d'ailleurs de prendre place dans le box des accusés.
Pour quelle vérité au final ? Eh bien… on n'en sait trop rien. Si ce n'est que l'inculpation pour vol crapuleux n'aura pas été retenue à l'encontre du prévenu. Le portefeuille soi-disant convoité n'ayant jamais quitté la poche de son propriétaire, qui avait été retrouvé groggy et la tête en sang.
Du coup, c'est sans que soit connu le motif réel de cette altercation que l'auteur du marron aura été condamné à trois petits mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pour son seul mauvais geste. Une peine bien inférieure au 10 mois de prison dont 6 ferme initialement requis par le parquet… mais qui, malgré tout, ne l'aura pas dispensé de rejoindre la maison d'arrêt, en raison d'une précédente incartade pour laquelle un mandat de dépôt planait depuis au-dessus de sa tête.
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La seule certitude à ce moment-là : le bourre-pif que le jeune sans-abri aura bien donné mercredi au vieil homme, dans des toilettes publiques du centre-ville. Ce qui lui valait d'ailleurs de prendre place dans le box des accusés.
Pour quelle vérité au final ? Eh bien… on n'en sait trop rien. Si ce n'est que l'inculpation pour vol crapuleux n'aura pas été retenue à l'encontre du prévenu. Le portefeuille soi-disant convoité n'ayant jamais quitté la poche de son propriétaire, qui avait été retrouvé groggy et la tête en sang.
Du coup, c'est sans que soit connu le motif réel de cette altercation que l'auteur du marron aura été condamné à trois petits mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pour son seul mauvais geste. Une peine bien inférieure au 10 mois de prison dont 6 ferme initialement requis par le parquet… mais qui, malgré tout, ne l'aura pas dispensé de rejoindre la maison d'arrêt, en raison d'une précédente incartade pour laquelle un mandat de dépôt planait depuis au-dessus de sa tête.
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Publié le lundi 19 mai 2014 à 11h04