<< Les dernières actualités de Besançon
Le vendeur de roses de Besançon encore interpellé
Siva, surnommé "le petit vendeur de roses" de Besançon, a une nouvelle fois été interpellé et conduit dans un centre d'expulsion.
Ce trentenaire indien a travaillé comme ingénieur informatique à Belfort et est officiellement marié à une Française (dont il serait toutefois séparé selon les autorités). Ses papiers n'ayant pas été renouvelés, il est devenu vendeur de roses dans les restaurants de Besançon il y a quelques années.
Siva a été interpellé et condamné à l'expulsion en juin 2010 puis en février 2011. Il avait alors refusé de quitter la France, avalant du shampoing pour ne pas prendre l'avion. Il vivait depuis caché à Besançon, susceptible d'être expulsé à tout moment.
Siva a été interpellé mardi à Belfort dans un jardin public. Il a été placé dans un centre de rétention en Alsace et devrait être prochainement reconduit en Inde.
Une manifestation de soutien a eu lieu le soir même devant la Préfecture. Deux autres sont prévues vendredi et samedi, afin de protester contre "l'acharnement" dont est victime le jeune indien et pour "exiger" sa régularisation.
Ce trentenaire indien a travaillé comme ingénieur informatique à Belfort et est officiellement marié à une Française (dont il serait toutefois séparé selon les autorités). Ses papiers n'ayant pas été renouvelés, il est devenu vendeur de roses dans les restaurants de Besançon il y a quelques années.
Siva a été interpellé et condamné à l'expulsion en juin 2010 puis en février 2011. Il avait alors refusé de quitter la France, avalant du shampoing pour ne pas prendre l'avion. Il vivait depuis caché à Besançon, susceptible d'être expulsé à tout moment.
Siva a été interpellé mardi à Belfort dans un jardin public. Il a été placé dans un centre de rétention en Alsace et devrait être prochainement reconduit en Inde.
Une manifestation de soutien a eu lieu le soir même devant la Préfecture. Deux autres sont prévues vendredi et samedi, afin de protester contre "l'acharnement" dont est victime le jeune indien et pour "exiger" sa régularisation.
Publié le jeudi 8 mars 2012 à 15h55